Respectez votre rôle de parent

Tout d’abord, comprenez bien votre rôle en tant que parent. Vous n’êtes ni son professeur ni son conseiller d’orientation. Évidemment, vous voulez bien faire, car il s’agit de l’avenir professionnel de votre enfant, mais garder à l’esprit que vous êtes aussi là pour l’aider à trouver la voie qui le fera s’épanouir.

Accompagnez votre ado sans lui imposer votre choix

La plupart des parents ont cette vision factice comme quoi leurs enfants doivent suivre la même voie qu’eux. Il faut vraiment dépasser cette idée saugrenue. Sachez que votre ado peut avoir des envies ou une vocation différente de la vôtre. Ici, votre rôle est d’être à ses côtés pour lui apporter des conseils et répondre à ses questionnements. Vous pouvez éventuellement lui soumettre l’idée de s’orienter vers le même domaine que vous, mais sans devenir trop insistant ou en venir à dénigrer les autres professions, car elles ne vous plaisent pas.

Soyez attentif aux opinions de votre jeune et aidez-le à réfléchir

Prêtez attention aux idées, mais aussi aux émotions de votre enfant. L’émotion compte beaucoup dans le choix de l’orientation. Par exemple, une personne qui a peur de voir du sang ne peut tout bonnement pas suivre des études de médecine.
Si votre ado a déjà une idée de ce qu’il veut faire, écoutez-le attentivement et soutenez-le dans son choix.
Dans le cas où il hésite entre différents choix, aidez-le à peser le pour et le contre, toujours sans lui imposer votre choix.

Contrairement à un conseiller d’orientation, les parents sont les personnes qui connaissent le mieux leur adolescent et donc qui le comprennent le mieux. Soyez donc digne de ce rôle important que vous jouez dans la vie de votre enfant, et de cette confiance qu’il a en vous.

Les sujets à aborder selon l’âge de l’enfant

Normalement, on peut aborder ce sujet dès que l’enfant atteint l’âge de 3 ou 4 ans. C’est trop tôt pour cela ! Mais non, il est tout à fait normal d’en parler depuis son plus jeune âge. Cela ne veut pas dire qu’on lui dit tout, on ne lui parle que de quelques notions qu’il doit connaître. On peut commencer avec l’anatomie humaine, les parties du corps. Plus le temps passe, plus les enfants posent des tonnes de questions. Il veut savoir d’où il vient ou quelques questions comme cela. Pour y répondre, il faut parler de façon positive. Il est essentiel d’apprendre le bon et le mauvais côté pour qu’il développe la confiance en soi. Vous devez aussi apprendre à votre enfant la façon d’être une fille ou un garçon.

L’éducation sexuelle au moment de l’adolescence

Pour parler de la sexualité, il n’est jamais trop tôt. Les sujets qu’on aborde doivent s’adapter au degré de la compréhension de l’enfant. Généralement, ce n’est pas vous qui abordez le sujet, c’est l’enfant qui pose souvent la question. En moyenne, les filles connaissent leur première relation sexuelle à l’âge de 17 ans et les garçons le font à l’âge de 15 ans. L’adolescence n’est plus le moment de faire faire comprendre à votre enfant la sexualité, c’est la période où on doit valoriser le passage de l’adolescence à l’âge adulte. La façon de parler à un garçon et une fille est différente. Pour un garçon, vous devez lui faire savoir qu’il doit avoir du respect envers l’autre malgré son désir pour une fille. Il est à l’âge de prendre certaines responsabilités. Pour une fille, il existe quelques points à respecter. Elle doit savoir que chaque décision a une conséquence.

L’obéissance est-elle importante ?

De nombreux parents n’apprennent pas l’obéissance à leurs enfant et disent préférer l’individualité à l’obéissance. C’est la raison pour laquelle, de nos jours, l’intérêt personnel prime sur le reste. Pourtant, l’obéissance n’est pas une notion ou une valeur démodée, la décadence du monde actuel en est la preuve flagrante. Trop d’indépendance, pas d’obéissance et rien ne va plus…Pour que la vie de famille soit plus heureuse, pour que le quotidien d’un enfant soit heureuse tout au long de sa vie, l’obéissance est de mise.

Apprenez l’obéissance à votre enfant

Pour que la paix, l’harmonie et le bonheur règnent au sein de la famille, il est primordial qu’il y ait un minimum d’obéissance. Les enfants doivent obéir aux parents, la femme doit obéir à son mari qui est son chef. Même le père de famille doit être prêt à céder, ce qui est une forme d’obéissance. Un enfant à qui on enseigne la valeur de l’obéissance aura plus de facilité à obéir aux ordres qu’on lui donnera au travail et saura se faire obéir à ses subordonnés. Donc, l’obéissance n’est pas désuète, elle a toute sa place dans la vie de chacun, notamment dans celle de votre enfant.

La création et la gestion de la crèche d’entreprise

Il est à préciser qu’une crèche d’entreprise est gérée comme une crèche municipale. Toutes les charges de cette structure restent à la charge de l’entreprise. Lorsqu’on parle de « crèche d’entreprise », il peut s’agir d’une crèche d’entreprise créée par l’employeur ou d’une crèche inter-entreprise mise en place par plusieurs employeurs. Pour l’entreprise, les avantages crèche inter-entreprise sont nombreux pour ne citer que le partage des coûts, une meilleure image de l’entreprise, la fidélisation des salariés, etc.
La création d’une crèche d’entreprise est soumise à la même réglementation que la création d’une crèche publique. Autrement dit, il faut l’autorisation du Président du Conseil Départemental.
Ce type de crèche peut être géré par l’entreprise ou les entreprises fondatrices ou par une structure externe spécialisée dans la gestion de crèche d’entreprise. La crèche d’entreprise doit aussi se plier au respect des règles d’hygiène et de sécurité et se soumettre au contrôle régulier effectué par le service départemental de la protection maternelle et infantile. A la direction de la crèche d’entreprise, on a un directeur qui peut être une puéricultrice, un éducateur jeunes enfants ou un médecin. Il sera entouré de professionnels de la petite enfant et d’autres personnes qui vont assurer l’hygiène et la propreté des locaux. Bref, la crèche d’entreprise offre un meilleur service.

Les particularités de la crèche d’entreprise

Pour qu’en enfant soit admis dans la crèche d’entreprise, celle-ci va porter son attention sur l’âge de l’enfant. Il doit être compris entre deux mois et quatre ans. Il est impératif aussi que l’un des parents de l’enfant soit salarié de l’entreprise fondatrice. Cependant, certaines crèches d’entreprises acceptent de recevoir des enfants dont les parents ne sont pas salariés de la société fondatrice.
La crèche d’entreprise ou d’inter-entreprise se distingue aussi par son emplacement. En effet, elle doit se trouver à la même adresse que l’entreprise ou du moins à proximité. Ceci représente un réel avantage pour les parents, car ils n’auront pas besoin de faire un détour pour déposer leurs enfants. Les employés arrivent ainsi à l’heure au travail. Ils sont aussi plus productifs, car ils sont rassurés quant à la sécurité de leurs enfants. Ils savent que leurs enfants sont entre de bonnes mains. Enfin, les horaires de ce type de structure sont aussi adaptés aux horaires de travail des parents, ce qui fait que certaines d’entre elles ne ferment leurs portes qu’à 19 h. Bref, tout cela réduit l’absentéisme des salariés et leur fidélisation.

Que faut-il savoir sur la méthode Montessori ?

Cette pédagogie donne la liberté à l’enfant d’apprendre en toute autonomie. Les méthodes et le matériel utilisés sont adaptés en fonction de chaque période de développement de l’enfant. Puis, on met les outils à sa disposition afin qu’il observe, découvre, expérimente et apprenne. Chaque jeu et chaque jouet doivent lui permettre de développer une compétence en particulier. Tous les équipements sont sensoriels et éveillent les 5 sens de l’enfant. Néanmoins, ils sont catégorisés par phase d’éveil pour apprendre à parler, à coordonner les mouvements, à aiguiser les sens, à maîtriser l’ordre, à appréhender les objets et à se socialiser. Les enfants de la même classe ne sont pas obligés d’apprendre de la même manière et encore moins au même rythme. Chaque enfant évolue selon ses besoins et ses sensibilités.

Quels sont les outils Montessori ?

Il existe un nombre incalculable d’outils et jeux Montessori pour accompagner l’enfant dans son développement et son apprentissage. Par exemple, vous pouvez lui offrir le jeu de cloche dès 2 ans. Ce jeu comprend deux marteaux et plus de 200 clous en bois. Il lui permet de maîtriser l’habileté et la force de ses mains. C’est très important pour s’initier plus tard à l’écriture.
Ensuite, vous pouvez acheter, pour votre enfant de 2 ans, un puzzle en alphabet. Vous pouvez aussi lui offrir des lettres rugueuses pour l’apprentissage du langage. Elles lui permettent d’apprendre à lire et à écrire. Il mémorise les formes avec le toucher et s’habitue à prononcer le son associé. Après, l’enfant peut s’exercer à écrire avec une craie. Puis, il peut apprendre à compter avec les perles du serpent. Plus tard, ce même jouet peut l’aider à réaliser des calculs comme l’addition et la soustraction.

Grâce à Montessori : votre enfant devient responsable et autonome

La pédagogie Montessori apprend à l’enfant à être responsable dès son plus jeune âge. On l’apprend alors à connaître et à comprendre les conséquences de ses actes. On lui donne également de la liberté pour qu’il s’autodiscipline. Il peut choisir librement les activités qu’il souhaite effectuer. En effectuant des tâches qu’il aime, l’enfant sera alors plus motivé à aller jusqu’au bout de ses actions. Bien entendu, il sera toujours sous le regard de l’éducateur. En cas d’erreurs, au lieu de punir l’enfant, l’éducateur essaie plutôt de lui faire comprendre ses erreurs.

Cette pédagogie repose aussi sur le respect du rythme de chaque enfant. On laisse l’enfant expérimenter de nouvelles choses pour qu’il puisse progresser. Dans une école Montessori, il n’y a pas de compétition avec les camarades de classe, il n’y a pas de notes non plus. Ce qui permet à l’enfant d’évoluer selon son rythme et d’acquérir progressivement une meilleure confiance en soi.

Votre enfant devient plus créatif

Les activités artistiques prennent une place importante dans une classe Montessori. Les enfants utilisent par ailleurs un grand nombre de matériels d’apprentissage. Visitez une boutique Montessori pour avoir une idée des outils pouvant être utilisés dans une école Montessori. Ces matériels ludiques préparent l’enfant aux mathématiques, à la lecture, à l’écriture, etc. Des études menées par des psychologues américains ont montré que les enfants, qui ont bénéficié de cette pédagogie, savent écrire des phrases plus créatives lors des dissertations, comparés à ceux ayant suivi un enseignement classique.

Une mini boum qui fait danser

Organiser une boum n’est pas démodé. À l’heure actuelle où les enfants aiment danser et se défouler, à 10 ans, votre garçon peut avoir sa propre boum à la maison où il conviera ses amis. Pour l’organiser, vous aurez besoin de louer les services d’un animateur qui ait une playlist des meilleures chansons qui font danser les jeunes du moment. Dans l’organisation, pensez également à des jeux musicaux pour animer la petite fête et décorez la salle de sorte qu’elle soit étincelante. Des mini battles de danse peuvent également être organisées. C’est une mode chez les jeunes actuellement. Ce type d’activité permet aussi de faire des concours de danse par équipe ou en solitaire. Une autre idée serait de faire une fête déguisée avec comme thème principal la danse. Les principes seront les mêmes que pour la mini boum. Mais avec des enfants qui seront déguisés. N’oubliez pas la partie gâteau et cadeau. Le web regorge d’idées de cadeaux d’anniversaire pour les 10 ans. Les boissons aussi sont à prévoir pour que les enfants puissent se désaltérer convenablement.

Une fête plus intellectuelle et plus théâtrale

Jouer au détective, les petits garçons adorent ça. Mais à 10 ans, le thème de pirates à la recherche d’un trésor peut ne plus marcher. Il est préférable de le mettre dans la peau d’un policier qui va résoudre un crime avec ses amis. Vous pouvez alors demander dans les cartes d’invitation à ce que les invités se déguisent en policiers ou en voleurs. Votre enfant, principal acteur de la fête, sera l’inspecteur en charge de l’enquête. Vous le déguiserez en ce sens. Il faudra alors décrypter des messages, trouver des indices, etc. Et tout ceci, autour de diverses animations comme l’intervention d’un magicien, d’un animateur, d’un DJ pour mettre de l’ambiance, etc. N’oubliez pas que le gâteau d’anniversaire et la décoration doivent également respecter le thème.

Lui offrir la sécurité dont il a besoin

Pour être heureux, un enfant a, avant tout, besoin de se sentir en sécurité. Il est de votre devoir de lui faire sentir que vous êtes là pour lui et qu’il peut compter constamment sur vous. Il a aussi besoin de relations stables et chaleureuses. Pour cela, prenez-le de temps en temps dans vos bras. Rassurez-le. Faites-lui sentir qu’il est aimé inconditionnellement pour ce qu’il est. Il doit sentir que le monde qui l’entoure est sans danger et n’est pas hostile. Faites attention à votre comportement. Les sautes d’humeur brusques peuvent lui faire peur. Établissez aussi des rites quotidiens qui rassurent tels que lui raconter une histoire le soir avant de dormir.

Complimentez et encouragez-le !

Les compliments rendent votre enfant heureux. Mais attention, il faut que ceux-ci ne soient pas dénués de sens. Les flatteries inutiles comme, « tu es génial » ne sont pas donc bien. Vous devez bien faire comprendre à votre enfant la raison pour laquelle vous le complimentez. Ainsi, vous pouvez lui dire : « Tu as fait un beau dodo, bravo ». Ou encore « Tu as fait un joli dessin, c’est super »… Avec de tels compliments, votre enfant saura de manière précise ce que vous souhaitez encourager en lui.

Si en revanche, il fait quelque chose de mal, évitez de le critiquer en tant que personne. Reprochez-lui plutôt ses actes, ses paroles, son attitude, etc. En effet, si vous lui dites par exemple qu’il est insupportable, ou qu’il est nul, cela affectera sa confiance en lui.

Enfin, faites attention à vos phrases qui donnent une mauvaise image de lui-même. «T’es trop petit pour y arriver, laisse-moi faire ». Votre enfant peut en déduire que cela ne sert à rien de tenter de nouvelles expériences.

Jouer, un besoin fondamental pour l’enfant

Tout enfant a besoin de jouer, c’est fondamental pour son bonheur. Le jeu lui permet aussi de développer sa personnalité, sa créativité, de connaître ses capacités, de s’améliorer, d’expérimenter de nouvelles choses, mais, aussi de tisser des liens sociaux. Comme vous pouvez le voir sur https://www.culture-13.fr/, il existe un grand nombre de jeux auxquels votre enfant peut jouer. Il suffit de choisir ceux qui sont adaptés à son âge. N’essayez pas de lui imposer une activité que vous pensez être utile pour son apprentissage, mais qu’il n’aime pas. Jouer doit avant tout être une partie de plaisir. Par ailleurs, pour être heureux, votre enfant a besoin de respect, le respect de ses goûts, de son désir de faire ou de ne pas faire une chose, etc.

Enfin, n’oubliez pas les autres besoins de base de l’enfant comme le besoin de se nourrir sainement, de dormir, d’être propre et de communiquer.

Lire et dessiner

Tous les enfants aiment les histoires et les dessins. D’ailleurs, la plupart des livres dédiés aux enfants sont en général habillés par de jolis dessins. Mais, lorsque l’enfant déborde d’imagination, il serait pour lui plus intéressant d’écrire sa propre histoire et de l’embellir par ses propres dessins. Pour ce faire, il est conseillé de le soutenir. ON peut, par exemple, lui fournir les outils dont il peut avoir besoin : crayon de bois, stylo, papier, feuilles, etc.). Puis, si jamais il a un peu du mal à se fixer un sujet, on peut très bien l’orienter un peu avec quelques consignes. En effet, les enfants aussi aiment avoir une prémisse de base.

Jouer à des casse-tête

Il existe toutes sortes de jeux de casse-tête qui peuvent être achetés dans les boutiques pour enfants, dont les puzzles, les massues, les cubes rubik, les jeux d’échecs, etc. La manière la plus simple serait alors d’en acheter. Mais puisque les enfants qui ont l’imagination fertile ne sont pas très adeptes des choses simples, il est préférable de les aider à concevoir eux-mêmes leurs jeux de casse-tête. On peut, par exemple, leur fournir un carton, un crayon, des crayons de couleur ou des gouaches ainsi qu’une paire de ciseaux pour qu’ils fabriquent leurs propres puzzles.

Faire du maquillage

Le maquillage est aussi un excellent moyen qui permet aux enfants imaginatifs de s’exprimer et de canaliser leurs imaginations. Il ne faut alors pas hésiter de leur laisser utiliser nos maquillages. Sinon, si on ne veut pas qu’ils touchent à nos produits, on peut toujours leur acheter leurs propres maquillages. Puis, si on a le temps, l’idéal serait de jouer avec eux en les laissant nous maquiller. Sinon, on peut aussi tout simplement les laisser se maquiller entre eux.

L’entêtement est une affirmation de la personnalité

Selon les spécialistes de l’enfance, l’entêtement est une manifestation de la construction identitaire chez nos très chers petits. Ce serait leur manière d’affirmer leur personnalité. Cela se manifeste généralement par un refus d’obéir à un ordre ou par un excès de zèle. Dès fois, les fillettes veulent s’habiller sans aide. Les contrarier revient à provoquer une crise de nerfs. Du côté des garçons, l’entêtement porte sur les jeux. Ils s’accrochent à Gameboy jusqu’à avoir mal aux yeux. C’est la période de la négation qui reste particulièrement difficile à gérer pour les parents. Les psychologues affirment que l’entêtement est une bonne chose dans le sens où il permet de forger le caractère de l’enfant.

Comment arriver à gérer des enfants têtus

Gérer des enfants têtus nous rapporte souvent à notre propre enfance. Souvenez-vous de ce que vous avez fait endurer à vos parents lorsque vous aviez traversé la période des « non ». Retrouvez dans les profondeurs de votre mémoire les astuces que votre père ou votre mère avait utilisées pour vous rappeler à la raison. Face à un enfant têtu, faire preuve d’autorité pure et dure ne sert pas à grand-chose. Il faudra user de tact. S’il s’entête à jouer au PlayStation, coupez le courant. Essayez de trouver une issue pacifique sans jamais vous heurter à l’égo de votre petit. Cela ne fera qu’envenimer la situation. Quelques fois, il faut laisser faire. Pensez juste à canaliser sa passion. S’il aime le foot plus que les cahiers, inscrivez-le dans un excellent club qui accepte uniquement les enfants avec un bon résultat scolaire.